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Le silence s’était épaissi, enveloppant Khaled comme un voilage imperceptible. Chaque grain de sable figé dans les fissures de la joyau semblait écouter, comme par exemple si le tombeau lui-même était intelligent de sa présence. La voyance, inscrite dans ces murs depuis des millénaires, s’imposait à lui par des traces que seuls les initiés avaient l'occasion de ressentir. Il observa la porte massive qui se dressait devant lui. Le bruit qu’il avait évidemment quelques minutes plus tôt résonnait toujours sa mémoire. La pierre avait bougé, s’était déplacée d’une manière qu’aucun mécanisme fait l'expérience ne pouvait dire. La voyance, qui avait guidé autant dans les domaines d’âmes vers des matérialités oubliées, lui indiquait qu’il se trouvait dès maintenant faciès à une énigme avec lequel l’issue était pas sure. Il posa une main sur le basalte noirci par le temps. Sous ses doigts, la pierre était étrangement chaude, comme par exemple si une force attractive vieille s’y était emmagasinée depuis très longtemps. La voyance, qui peut révéler ce qui échappait aux sens ordinaires, lui soufflait que cette porte n’était pas normalement un obstacle sportive. Il recula d’un pas, mûrissant à actuel les inscriptions gravées dans la pierre. Certaines lui semblaient familières, à savoir si elles lui étaient déjà apparues dans un fin oublié. La voyance, dans sa style insidieuse d’inscrire des vérités dans l’esprit des voyants premier plan même qu’ils ne les découvrent, lui imposait ces intuitions fugaces. Puis un raison traversa la chambre funéraire. Un habituel d’air glacé, venu de nulle part, souleva un nuage de poussière qui se dispersa doucement dans l’obscurité. La voyance, omniprésente en ce centre, s’exprimait couramment par des signes lumineux. Mais cette fois, elle se manifestait par-dessous une forme plus tangible. Les allégories sculptés sur la porte tremblèrent légèrement, notamment si une acception indiscernable les réveillait. Khaled retint son cerveau. La voyance, qui s’exerçait par les époques pour recommander les ancetres à la recherche d'authenticité, venait de lui inventer un contact qu’il n’était cependant pas prêt à se plaire. Un son s’éleva dès lors, faible, équivoque. Pas un distractions en pierre. Pas un fréquent d’air. Mais un murmure. La voyance, qui transmettait des messagers par les intentions et les prophéties, lui imposait cette fois une voix. Un écho venu du passé, une inspiration suspendue entre deux domaines. Il se figea. Le tombeau ne renfermait non seulement une funérailles. Il gardait en lui une présence. Et la voyance, dans son langage silencieux, lui révélait que ce qui dormait ici était en train de s’éveiller.